Mitsuki Sakai.

Mon Histoire n'as à vrai dire, rien de bien intéressant. Je suis née il y a de ça 250 ans, dans cette foret même. Dans ma jeunesse, j'ai était élevée par ma mère ainsi que mes frères et sœur. J'ai eu beau toujours m’intéresse à la lecture, dés mon plus jeune âge, l'on me tirait dehors pour que j'aille chasser ce qu'on appelait « Les Humains » Je n'ai jamais compris comment ils marchaient... Ils avaient les joues rose,s la peau chaude et .. quelques choses battait contre leurs torse avant que je ne les dévore... Vraiment, cette race m'intrigue.

Ma mère me disait qu'ils étaient des monstres qui venaient nous chasser, et que nous avions besoin de leurs sang pour vivre ; a propos du sang, j'y ai toujours trouvé un goût d’amertume ce qui en soit était assez ecoeurant... Mais lorsque je n'en buvait pas durant quelques jours, je me sentais pâlir et faiblir... j'ai donc du faire avec.

Des mon adolescence, j'ai pris goût aux meurtres de ces personnes étranges, les humains. Leurs odeur me semblait moins amère, au contraire, je m'en léchais les babines, puis cela m'as obsédé, la seule choses que j'avais en tête était de planter mes crocs dans la peau fraîche de ces jeunes personnes. Je ne pouvait m'empêcher, lorsque je voyais un humain, de l’assassiner sauvagement, sans aucun regret.. Enfin, sur le coup.

Dés lors, lorsque je regardaient mes mains, tachait de sang... Je me suis rendus compte que le monstre n'était peut-être pas eux, mais moi... a assassiner de simple passants pour me nourrir... Des passants qui, n'étaient pas forcement des chasseurs et qui ne voulaient pas forcement me tuer ?... J'essayais de me calmer, j'essayais de me retenir de boire, mais cela me fut impossible, Jusqu'au jours ou je fis la connaissance d'une jeune humaine, une femme aux yeux d'or, au visage rayonnant de joie et de beautés... J'ai à ce moment ressentis quelques choses, au niveau de mon torse, quelque choses que je n’avais jamais ressentis avant.. a part lorsque je tuais les humains... Je compris à ce moment ce qu'était ce sentiment dont j'avais un jours entendu parler.. l'amour.

J'étais comme attiré, je ne pouvais pas me passer de cette jeune femme, et elle non plus.. Fou amoureux l'un de l'autre, le désire nous poussait à aller loin... toujours plus loin …

Jusqu'au jours ou cela est allé trop loin. Le désire que je ressentais tant, était celui de son sang frais.. Je l'ai tué dans ma folie, et mon cœur s’est brisé. Je pouvais à peine entendre ses derniers murmures, qui étaient ceux de mon prénoms... avant de la voir, étalée à terre, baignant dans son propre sang.

C'est à ce jours que je me suis promis que plus jamais je ne goutterais à du sang.. plus jamais.